Pourquoi le « low impact » a tout bon – Paris Match

« Les bienfaits des pratiques douces dépassent le cadre sportif. D’abord parce qu’elles (ré)apprennent à respirer correctement, grâce à ce que l’on appelle la respiration consciente, c’est-à-dire profonde, fluide et localisée (par le nez ou par la bouche, au niveau de l’abdomen, des côtes ou des clavicules). En yoga, on l’appelle Pranayama, et en Pilates, la part belle est faite à la respiration costale. En cours de stretching, chaque étirement s’accompagne de larges expirations pour oxygéner les muscles. Le point commun de ces cours ? Permettre d’éliminer les tensions et de se relaxer. Résultat : au fil des séances, on applique ce principe à sa vie quotidienne, on respire plus intensément, donc on gère mieux les situations de stress. Ensuite, à l’instar de la méditation, ces disciplines low impact exigent de se recentrer sur soi. « Si on se focalise sur un geste, on le réalise avec davantage de précision, et ainsi ses effets sont maximisés », analyse Fatima qui enseigne le Feldenkrais, une méthode d’assouplissement qui permet d’éliminer les tensions et d’améliorer sa mobilité en utilisant l’imagination et la sensorialité. Ainsi, au fur et à mesure des cours, on augmente sa capacité de concentration, on améliore la perception de son corps tout en s’apaisant durablement. »
Lire l’article écrit par Julie Pujols Benoit pour Paris Match.

Comments

  1. delphinehelix a écrit

    « Douces et extrêmement efficaces, ces disciplines éclipsent peu à peu les cours traditionnels dans les clubs de gym. Décryptage de cette mouvance qui réinvente le fitness. »

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